L’utilisation du concept de nationalisme en France pendant un siècle y est particulièrement intéressante.
La post-face qui fait la critique de l’approche partiale et partielle d’Henri GUILLEMIN est elle-même critiquable, notamment quant au jugement sur le pacte germano-soviétique dont on nous dit de nos jours qu’il fut la grande erreur stratégique d’Hitler et d’une grande utilité militaire pour Staline. Même si la victoire russe sur le front de l’Est a été aidée matériellement, vers la fin, par des américains qui commerçaient des deux cotés en attendant que les deux belligérants principaux s’épuisent mutuellement, on peut penser que le pacte germano-soviétique a été un élément stratégique déterminant qui a donné du temps à Staline pour préparer la guerre et un glacis. Les crimes commis par Staline en font un personnage aussi peu recommandable que Hitler mais ne suppriment pas la victoire des russes qui ont vaincu les nazis.
Le souhait de la défaite de 1940
0 vote
Une conférence d’Henri Guillemin donnée en Suisse en 1973 sur le contexte politico-militaire qui a conduit la France au désastre de 1940.
Noter cet article :
0 vote