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Etat sanitaire des prisonniers ukrainiens
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Donbass Insider
Forwarded from MoD Russia

Article mis en ligne le 8 juillet 2022

par Ni dieu ni maître
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📑L’opération militaire spéciale a conduit à former le rapport final sur l’activité du DTRA datant de 2005 à 2016.

🗂Le document contient les données sur l’évaluation de l’efficacité des systèmes de soins de santé, vétérinaires et de biosécurité préparées par un groupe d’experts américains en 2016.

▫️Ce rapport est un document conceptuel conçu pour la planification ultérieure de l’activité militaro-biologique du Pentagone en Ukraine qui contient des conclusions sur la mise en œuvre des directives du programme.

❗️Malgré la période de coopération de plus de 10 ans dans la prétendue ’...réduction des menaces biologiques...’, les experts ont déclaré : ’...Il n’existe pas de législation sur le contrôle des agents pathogènes hautement dangereux dans le pays, il y a des lacunes importantes en matière de biosécurité.... L’état actuel des ressources ne permet pas aux laboratoires de répondre efficacement aux urgences de santé publique...’’

▫️Le document souligne que "...au cours des cinq dernières années, l’Ukraine n’a montré aucun progrès dans la mise en œuvre des règlements sanitaires internationaux de l’Organisation mondiale de la santé".

❗️Le rapport accorde une attention particulière au non-respect des exigences de biosécurité lors du travail et du stockage des collections microbiennes. Il a été indiqué ’...que la plupart des installations sont caractérisées par de nombreuses violations flagrantes, telles que des systèmes de clôture non verrouillés, des fenêtres non verrouillées, des systèmes de restriction des agents pathogènes cassés ou inactifs, l’absence de systèmes d’alarme...’. Les résultats de l’examen concluent qu’il n’existe aucun système de protection des agents pathogènes dangereux en Ukraine.

▫️Dans le même temps, les activités de l’Agence de réduction des menaces pour la défense (DTRA) ont été évaluées positivement : l’organisation a réussi à faire venir la collection nationale de micro-organismes aux États-Unis, à organiser des travaux d’évaluation biologique et à mettre en œuvre des projets d’étude d’infections particulièrement dangereuses et économiquement significatives, susceptibles de provoquer une aggravation (évolution) de la situation épidémique.

▫️Le rapport plaide pour la poursuite de ces travaux pour le compte du Pentagone qui ont coûté plus de 250 millions de dollars depuis 2005. Le document est annexé de commentaires ambigus sur les commanditaires et les exécutants du programme de réduction de la menace biologique en Ukraine qui n’ont rien à voir avec les questions de biosécurité. En particulier, la Fondation Soros est mentionnée avec la notation "...a contribué au développement d’une société ouverte et démocratique...

▫️Cela confirme une fois de plus que les activités officielles du Pentagone en Ukraine ne sont qu’une façade pour la recherche militaire et biologique illégale.

💬 Nous avons mentionné à plusieurs reprises le rôle des représentants du Parti démocrate américain dans le financement des activités liées aux armes biologiques en Ukraine et les organisations intermédiaires qui ont été utilisées à cette fin.

◽️ Je voudrais faire référence à l’un des principaux contractants du Pentagone recevant de l’argent du fonds d’investissement de Hunter Biden, Metabiota.

📃 Les données disponibles suggèrent que cette société n’est qu’une façade à des fins internationalement douteuses et qu’elle est utilisée par l’élite politique américaine pour mener des activités financières opaques dans diverses parties du monde.

◽️ Il existe un exemple précis : Metabiota a participé à la réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Les activités des employés de l’entreprise ont suscité des interrogations de la part de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) quant à leur respect des exigences en matière de biosécurité.
C’est le rapport du groupe international d’experts du Consortium sur la fièvre hémorragique qui a participé à la lutte contre la maladie à virus Ebola en Sierra Leone en 2015.

🗂 Selon le document, le personnel de Metabiota n’a pas respecté les procédures de manipulation et a dissimulé l’implication du personnel du Pentagone qui utilisait l’entreprise comme façade. Le but principal de ces activités était d’isoler des variantes hautement virulentes du virus à partir de personnes malades ou décédées, ainsi que d’exporter ses souches aux États-Unis.

◽️ Compte tenu de l’échec apparent des activités de Metabiota à atteindre les objectifs de contrôle de la propagation de la maladie, le coordinateur Ebola de l’Organisation mondiale de la santé, Philippe Barbosa, a recommandé de rappeler le personnel de la société en se disant extrêmement préoccupé par les risques potentiels d’une telle collaboration pour la réputation de l’OMS.

◽️ L’intérêt accru du contractant militaire américain pour le virus Ebola n’est pas une coïncidence : la maladie est l’une des plus pathogènes pour l’homme. Lors de l’épidémie qui a débuté en 2014, 28 000 personnes ont été contaminées, plus de 11 000 d’entre elles sont décédées, le taux de mortalité était d’environ 40%.

🗂 L’opération militaire spéciale a permis de recevoir des documents qui révèlent les plans de Metabiota et du Centre scientifique et technologique ukrainien pour étudier le virus Ebola en Ukraine.

◽️ Il s’agit de la demande de financement américain pour diagnostiquer des agents pathogènes très dangereux en Ukraine, notamment le virus Ebola. Ce type de demandes fait partie de la stratégie américaine visant à redéployer le travail à haut risque avec des agents pathogènes dangereux vers des pays tiers.

◽️ Les recherches devaient être menées à l’Institut anti-peste Mechnikov à Odessa. Comme la maladie n’est pas endémique et n’a jamais été enregistrée en Ukraine en effet, on peut légitimement s’interroger sur la nécessité de ces recherches et sur leur véritable objectif.

💬 Nous avons déjà noté que l’Ukraine et d’autres États post-soviétiques sont devenus un terrain d’essai pour les armes biologiques non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour leurs alliés de l’OTAN ; en premier lieu, l’Allemagne. Divers projets ont été réalisés pour le compte du service médical conjoint des forces armées allemandes.

◽️ Les professionnels de la Bundeswehr ont accordé une attention particulière à l’agent pathogène de la fièvre du Congo-Crimée. Un dépistage à grande échelle de la susceptibilité de la population locale à cette infection a été réalisé et comprenait la synthèse des données démographiques, épidémiologiques et cliniques. Ce type d’approches permet d’identifier de nouveaux génotypes de virus régionaux et de sélectionner les souches à l’origine de formes cliniques latentes.

◽️ L’étude des foyers naturels de la fièvre de Crimée-Congo a été réalisée sous le prétexte d’améliorer le système de surveillance épidémiologique ukrainien, avec la participation de l’Institut de médecine vétérinaire de Kiev et de l’Institut anti-peste Mechnikov d’Odessa.

◽️ L’intérêt de la Bundeswehr pour la fièvre de Crimée-Congo tient au fait que la mortalité peut atteindre 30 % et que ses épidémies rendent nécessaires des mesures de traitement, de prévention et de traitement spécial longues et coûteuses.
Voici un extrait des instructions de la Bundeswehr : ’...accorder une attention particulière aux cas mortels d’infection par la fièvre de Crimée-Congo car cela permet d’extraire des individus décédés les souches virales présentant le maximum de pathogénicité et de virulence pour l’homme...’’

◽️ Outre l’Allemagne, les microbiologistes des États-Unis ont montré un vif intérêt pour les infections transmises par les tiques ; les recherches dans ce domaine ont été financées par le DTRA dans le cadre des projets UP-1 et UP-8.
Un projet distinct sur les tiques ixodides qui sont les vecteurs d’un certain nombre d’infections très dangereuses (tularémie, fièvre du Nil occidental, fièvre du Congo-Crimée) a été mis en œuvre par l’Université du Texas.

◽️ Les tiques étaient auparavant collectées dans les régions du sud-est de l’Ukraine, où se trouvent les foyers naturels d’infections caractéristiques du territoire de la Fédération de Russie. Parallèlement, la période de mise en œuvre de ces travaux a coïncidé avec une augmentation rapide de l’incidence de la borréliose à tiques au sein de la population ukrainienne, ainsi qu’avec l’augmentation du nombre de tiques dans diverses régions de Russie limitrophes de l’Ukraine.

◽️ Cette question est étudiée par des professionnels russes compétents en coordination avec des professionnels du ministère de la Défense de Russie.

💬 Nous avons précédemment souligné l’importance des résultats des projets militaro-biologiques portant le nom de code UP pour le Pentagone.
Notez le rapport préparé pour le ministère de la Défense des États-Unis par Black & Veatch et Metabiota. Selon ce document, les projets vétérinaires portant le nom de code " TAP " ont été mis en œuvre simultanément avec les projets U-P en Ukraine.

◽️ Leur principale ligne directrice réside dans les infections de quarantaine économiquement importantes, capables de nuire à l’agriculture de plusieurs pays et de régions entières, telles que la morve, la peste porcine africaine (PPA), la peste porcine classique, la grippe aviaire hautement pathogène et la maladie de Newcastle.

◽️ La peste porcine africaine avec deux projets dédiés à cet agent pathogène représentait un intérêt particulier pour les biologistes militaires américains.
Le projet TAP-3 visait à étudier la propagation de l’agent pathogène de la PPA par les animaux sauvages. Les itinéraires de migration des sangliers à travers l’Ukraine avaient été examinés dans ce cadre. Le projet TAP-6 a étendu ce processus aux pays d’Europe de l’Est.

◽️ L’étude des populations de vecteurs d’infections zoonotiques dangereuses a été réalisée par le personnel de l’Institut des nouveaux pathogènes de l’Université de Floride (Gainesville) dans les régions de Volyn, Rovno, Zhitomir et Tchernigov en Ukraine, ainsi que dans les zones frontalières avec la Biélorussie et la Russie.

◽️ A noter l’aggravation de la situation de la peste porcine africaine dans les pays d’Europe de l’Est : Selon l’Office international des épizooties, depuis 2014, des foyers ont été enregistrés en Lettonie (4 021 cas), en Estonie (3 814) et en Lituanie (4 201). En Pologne, plus de 13 000 cas de PPA ont été détectés, et les pertes agricoles dues à la maladie ont dépassé 2,4 milliards d’euros.

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💬 Nous avons déjà évoqué l’utilisation d’armes biologiques à Cuba dans les années 1970 et 1980. Aujourd’hui, j’aimerais me concentrer sur les activités militaro-biologiques des États-Unis pendant la guerre de Corée.

📃 En mars 2022, l’Institut d’études stratégiques de l’armée américaine a publié un rapport sur le programme d’armes chimiques et biologiques des États-Unis pendant la guerre de Corée. Ce rapport visait à créer une éventuelle ligne de défense contre les allégations d’activités illégales menées par les biolaboratoires américains en Ukraine. Le document tente de réfuter le témoignage de 38 pilotes militaires américains qui ont admis avoir utilisé des armes biologiques en Chine et en Corée.

◽️Selon le document, lors de la préparation de la campagne de Corée, "...l’armée de l’air américaine a obtenu des fonds supplémentaires pour acheter de grandes quantités de munitions chimiques et biologiques, a obtenu un champ d’essai pour celles-ci au Canada et a effectué un travail conceptuel approfondi sur leur utilisation...

◽️ À cette époque, les Américains considéraient les agents pathogènes de la brucellose et les infections importantes sur le plan économique, notamment la rouille de la tige du blé, comme des agents biologiques prioritaires. 2 500 munitions de ce type que le Strategic Air Command de l’armée de l’air américaine prévoyait d’utiliser, notamment "... pour attaquer les cultures céréalières soviétiques...".

◽️ L’analyse des données mentionnées dans le rapport montre que le commandement américain utilise les résultats des recherches reçues du programme militaro-biologique japonais et une certaine ’continuité’ des travaux précédemment réalisés par le détachement 731 dirigé par Shiro Ishii.

📄 Il s’agit du compte rendu de la séance à huis clos des représentants de la CIA, du Département d’État et du Pentagone, daté du 7 juillet 1953. Ce document montre clairement que les Américains se concentrent sur les techniques de manipulation de l’opinion publique et lancent une contre-attaque agressive dans le cadre de leurs stratégies visant à se défendre des allégations.

◽️ Le rapport indique que les responsables sont réticents à mener de véritables enquêtes sur les incidents chimiques et biologiques par crainte de révéler les activités menées par la huitième armée américaine.

◽️ L’analyse comparative des activités américaines pendant la guerre de Corée et actuellement en Ukraine démontre la persistance de la politique américaine de renforcement de ses propres capacités militaires et biologiques en contournant les accords internationaux.

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💬 En conclusion, je voudrais présenter des données réelles sur l’état de santé des militaires ukrainiens qui se sont rendus volontairement. Ce dispositif présente les données sur la présence d’anticorps contre les agents de maladies contagieuses sans mentionner les données personnelles de ces militaires.

📊 Les résultats sont les suivants : 33% des militaires examinés avaient eu une hépatite A, plus de 4% une fièvre du syndrome rénal et 20% une fièvre du Nil occidental. Ces chiffres sont nettement supérieurs à la moyenne statistique. Compte tenu des recherches actives sur ces maladies détenues par le Pentagone dans le cadre des projets ukrainiens, il y a lieu de penser que les militaires des forces armées ukrainiennes (AFU) ont été impliqués comme volontaires dans des expériences visant à évaluer la tolérance aux maladies infectieuses dangereuses.

◽️ L’absence d’effet thérapeutique des médicaments antibactériens a été signalée lors du traitement hospitalier des militaires des AFU dans les établissements médicaux. Des concentrations élevées d’antibiotiques, notamment de sulfonylamides et de fluoroquinolones, ont été détectées dans leur sang.

◽️ Ce fait peut indiquer une utilisation préventive d’antibiotiques et une préparation du personnel à opérer dans des conditions de contamination biologique, comme l’agent du choléra, ce qui prouve indirectement les informations du ministère russe de la Défense selon lesquelles les unités spéciales ukrainiennes prévoyaient d’utiliser des agents biologiques.

◽️ Ces données seront incluses dans le dossier militaire-biologique américain et nous continuerons à les examiner et à vous tenir informés.

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